Programme de prière du dimanche 19 décembre 2021

Chant d’entrée : H & L n° 508 – Seigneur, mon âme soupire
Psaume ou lecture Biblique :1 Samuel 1 : 19-28

Prière : Animateur
Bienvenue : Animateur

Louange à Dieu dans la prière

H & L n° 19 – Du rocher de Jacob
Lecture verset Biblique : Luc 1 : 46-55
Prière de louange Chacun est libre de s’exprimer




1ère partie : Principes de foi chrétienne :

Chapitre 22 — La mère et son enfant 2/2

Quand les tâches de la mère devraient être allégées

On commet souvent l’erreur de ne pas apporter un changement dans la vie d’une femme avant la naissance de ses enfants. Pendant cette période importante, son travail devrait être allégé. De grands bouleversements se produisent en elle. Cela requiert une plus grande quantité de sang et par conséquent un surcroît de nourriture de qualité destinée à être transformée en sang.

Si elle ne consomme pas une quantité suffisante d’aliments nourrissants, elle ne peut conserver toute sa vigueur physique, ce qui altère la vitalité de l’enfant qu’elle attend. Il lui faut également veiller à ses vêtements. Elle devrait prendre soin de protéger son corps de toute sensation de froid et ne pas inutilement faire appel à sa vigueur pour suppléer le manque de vêtements confortables. Si la femme enceinte est privée d’une nourriture abondante et saine, son sang sera appauvri, sa circulation sera perturbée et son enfant souffrira des mêmes carences ; il lui sera impossible de trouver les éléments dont son propre sang a besoin pour se former. La santé de la mère et celle de l’enfant dépendent donc beaucoup du confort des vêtements et de la qualité des aliments consommés.

Recommandations à la mère qui allaite

Le meilleur aliment pour le bébé est celui que la nature lui fournit. Il ne devrait pas en être privé sans nécessité. Il faut être sans cœur pour se libérer, afin de conserver ses aises et sa liberté, du devoir si doux d’allaiter son enfant.
La période pendant laquelle l’enfant reçoit le lait de sa mère est très importante. Bien des mamans, au cours de ces mois, s’épuisent au travail, se chargent de sang par leur alimentation ; le bébé s’en trouve sérieusement affaibli, non seulement parce que le lait maternel subit les effets de l’énervement, mais parce que son propre sang est empoisonné par suite du régime malsain de sa mère, qui perturbe tout l’organisme de celle-ci ainsi que la nourriture de l’enfant. Ce dernier est en outre influencé par l’état d’esprit de sa mère. Si elle est malheureuse, facilement agitée, irritable, portée à manifester ses passions, la nourriture que le bébé va recevoir d’elle sera de nature à provoquer des coliques, des spasmes et même, dans certains cas, des convulsions et des attaques.

Le caractère de l’enfant est aussi plus ou moins affecté par la qualité de l’alimentation que ce dernier reçoit de sa mère. Il est donc important que celle-ci, pendant la période de l’allaitement, s’efforce de se maintenir dans un état d’esprit optimiste et de se dominer.
En agissant ainsi, elle évite d’altérer la nourriture de son enfant ; de plus, le calme et la maîtrise de soi qu’elle conserve quand elle s’occupe du bébé ont une influence favorable sur la formation mentale de celui-ci. Si l’enfant est nerveux et facilement agité, l’attitude prudente et patiente de sa mère tendra à l’apaiser, à le corriger, et à améliorer nettement sa santé. — Foyer chrétien, 246-249.

De la régularité dans les soins et la tendresse

Les enfants sont confiés à leurs parents comme un dépôt précieux, dont Dieu, un jour, leur demandera compte. Nous devrions accorder plus de temps, de soin et de prière à leur éducation. Ils ont davantage besoin d’une instruction de qualité. — Foyer chrétien, 153.
Bien des enfants ont souffert de soins inappropriés. Lorsqu’ils étaient difficiles, on leur donnait à manger pour les calmer, alors que, dans la plupart des cas, leur irritabilité provenait justement du fait qu’ils avaient reçu une trop grande quantité d’une nourriture rendue malsaine par les mauvaises habitudes diététiques de leur mère. Un surcroît d’aliments ne faisait qu’aggraver les choses, leur estomac étant déjà surchargé. Les enfants sont généralement élevés, dès le berceau, suivant le principe qu’ils peuvent satisfaire leur appétit, et on leur dit qu’ils vivent pour manger.
Leur mère joue un grand rôle dans la formation de leur caractère durant leur tendre enfance. Elle peut leur apprendre soit à contrôler leur appétit, soit à le satisfaire et à devenir des gloutons. Très souvent elle dresse un plan de travail pour la journée et, lorsque ses enfants la dérangent, au lieu de prendre le temps d’apaiser leurs petits chagrins et de les distraire, elle leur donne quelque chose à manger pour qu’ils se tiennent tranquilles, ce qui réussit pendant un certain temps, mais peut, en fin de compte, aggraver les choses. L’estomac des enfants a été surchargé de nourriture alors qu’ils n’en avaient pas le moindre besoin. Tout ce qu’ils voulaient, c’était un peu de temps et d’attention de leur mère. Mais celle-ci considère son temps comme trop précieux pour être consacré à l’amusement de ses enfants.
Peut-être pense-t-elle que l’agencement de sa maison, les compliments qu’elle en retirera, et la préparation très élaborée des repas sont plus dignes d’intérêt que le bonheur et la santé de ses enfants. Au lieu de penser à la mode ou au désir de provoquer l’admiration, recherchons, dans la confection de la layette du nouveau-né, le confort, la commodité et l’hygiène. La mère ne devrait pas perdre son temps à broder ou à confectionner diverses fantaisies destinées à embellir ces petits vêtements, se chargeant ainsi d’un travail inutile au détriment de sa santé et de celle de son enfant. Elle ne devrait pas davantage se fatiguer les yeux et les nerfs par des travaux de lingerie fine à un moment où elle a besoin du maximum de repos et d’exercices distrayants. Qu’elle comprenne que son devoir est de conserver ses forces pour faire face aux exigences futures. — Foyer chrétien, 251-253.

Le besoin de maîtrise de soi dans l’éducation des enfants

Dans l’éducation des enfants, il arrive que la volonté ferme de la mère soit confrontée à la volonté irraisonnée et indisciplinée de l’enfant. Dans de telles circonstances, la mère doit agir avec une grande sagesse. Un manque de sagesse, une contrainte sévère peuvent provoquer de graves dommages sur l’enfant.

Autant que possible, cette crise devrait être évitée, car elle représente une lutte difficile aussi bien pour la mère que pour l’enfant. Mais une fois que cette confrontation est engagée, l’enfant doit soumettre sa volonté à la volonté plus sage des parents. La mère devrait contrôler parfaitement ses réactions et ne rien faire qui puisse fait naître chez l’enfant un esprit de défiance. Elle gagnera davantage en gardant la voix douce et aimable. Elle doit traiter l’enfant de telle sorte qu’il soit attiré vers Jésus. Elle doit réaliser que Dieu est son aide et l’amour sa force. Si elle est sage et chrétienne, elle ne forcera pas l’enfant à se soumettre. Elle priera sérieusement pour que l’ennemi n’obtienne pas la victoire, et dans la prière, elle renouvellera sa vie spirituelle. Elle verra que le même pouvoir qui agit en elle agit aussi dans le cœur de l’enfant. Celui-ci deviendra plus gentil, plus soumis. La bataille est gagnée.

Sa patience, sa gentillesse, ses paroles de retenue ont fait leur œuvre. La paix succède à la tempête, comme le rayon du soleil à la pluie. Et les anges qui ont assisté à la scène expriment des chants de joie. Ces crises surviennent aussi entre mari et femme qui, à moins d’être soumis à l’Esprit de Dieu, manifesteront l’esprit impulsif et déraisonnable si souvent exprimé par leurs enfants. La confrontation des volontés est comme le frottement de deux silex. — Testimonies for the Church 7:47, 48.

Confession et victoire sur le péché dans la prière
Chant :H & L n° 124 : Réponds à ma prière
Lecture verset Biblique : Romains 7 : 14-25

Prière de repentance et de Confession : Chacun prie et confesse ses péchés en silence. L’animateur prie ou désigne une personne pour terminer après 3 à 5 mn.

Témoignages – prières particulières – Chants

2ème partie Courte méditation : Faut-il fêter noël ?

Dans la Rome antique, comme dans l’Empire romain, le peuple pratiquait toutes sortes de rites païens. L’un des plus vivaces était le culte d’un dieu venu de Perse : Mithra, le soleil invincible, dont on disait qu’il renaissait chaque année au solstice d’hiver (nuit la plus longue). On venait l’idolâtrer en foule devant la grotte sacrée où il apparaissait sous les traits d’un enfant nouveau-né ; et l’allongement du jour, à partir du 21 décembre, était un peu partout l’occasion de joyeuses. C’est alors que le pape Liberus eut, en 354, l’idée de célébrer la naissance de Jésus le 25 décembre, 4 jours après le solstice d’hiver. L’erreur des 4 jours plus tard venait de ce que les romains ignoraient certaines lois de l’astronomie, alors que les chaldéens et les Égyptiens les connaissaient depuis longtemps.
Après informations, ils préférèrent maintenir la date traditionnelle pour fêter le jour de noël. La fête païenne demeurait, mais c’était désormais “l’enfant Jésus” qu’on adorait dans les grottes.

Le 25 décembre n’est donc pas la date de la naissance de Jésus-Christ ; cette date fut choisie pour remplacer la fête païenne de noël, comparant Christ au soleil de justice, au soleil invincible, le “soleil naissant” au solstice d’hiver par l’image d’un bébé.

Cette fête était une cérémonie très ancienne aussi pour les Égyptiens : ils représentaient le soleil renaissant avec l’image d’un bébé qui était présenté à ses adorateurs au solstice d’hiver. Ces traditions se poursuivent aussi dans l’Église catholique romaine pendant la messe de minuit : la statue de “l’enfant Jésus” est présentée et adorée par les fidèles.

En fait, l’origine de cette fête remonte à l’époque de l’ancienne Babylone et de Nimrod. (« Les 2 Babylones » d’Alexandre Hislop, édition Fishbacher).

Si la Bible ne donne nullement de date, c’est que nous n’avons pas besoin de le savoir, donc pas besoin de fêter la naissance du sauveur. Par contre, les vrais chrétiens partagent le pain et le vin en souvenir de sa mort et en attendant
son retour : c’est cela que Jésus a demandé aux siens (1 Corinthiens 11 : 24,25).
Beaucoup d’églises saisissent l’occasion pour évangéliser pendant cette période, ce qui est une bonne chose, car certaines personnes du monde sont plus réceptives au message du salut. La fête de noël n’a aucun rapport avec la
Parole de Dieu, mais c’est une fête 100% païenne. Cependant, ceux qui ne fêtent pas noël ne doivent pas juger ceux
qui le font (Romains 14 :3,4).

Lisons dans notre Bible : Jérémie 10 : 2-7

Supplication et intercession dans la prière
Chant : H & L n° 212 – Annonçons partout le dernier message

Lecture verset Biblique : Actes 18 : 24-28

Sujets de prières

  • Prières personnelles, frères et sœurs souffrants, dans les problèmes, pour les papiers et ceux qui se sont éloignés de l’Eglise, pour la liste des personnes du mois et les deux personnes de la semaine ( Voir les annonces)
  • Prions pour que chacun d’entre nous soyons plus assidus à l’étude de la Bible, à l’étude de l’école du Sabbat, et à la lecture des livres d’Ellen White.
  • Prions pour demander au Seigneur d’agir dans nos cœurs par la puissance du Saint-Esprit, pour que nous soyons à l’image de Jésus-Christ : humbles, doux, intègres, justes, droits, empathiques, aimant notre prochain comme nous-mêmes.
  • Remercions notre Dieu tout puissant qui contrôle cette pandémie et prions pour nos dirigeants politiques.

  • Remercions le Seigneur pour les bénédictions qu’il accorde à notre Église, à notre Pasteur, a ses membres, aux sympathisants ainsi qu’aux enfants.
  • Prions toujours pour toutes les personnes de qui souffrent du virus COVID-19 et autres maux et maladies.
  • Prions pour nos dirigeants politiques afin qu’ils prennent de justes mesures pour sortir de la crise due à la pandémie et que notre Dieu tout puissant éradique cette maladie.
  • Prions pour nos enfants et pour nos frères et sœurs, qui exercent dans les conditions particulières du COVID, afin qu’ils puissent être libres pour le Sabbat.
  • Prions pour les dirigeants et membres de l’Église de Mayotte – de la Fédération – de l’Union – de la Division et de la Conférence Générale.